Rapport général 1876-1963; procès-verbaux du comité de 1882-1927 et des assemblées générales de 1876 à 1976; des coupures de presse en relation avec le nouvel hôpital orthopédique et Louis Nicod, médecin/chef, 1963-1976.
Le fonds est réparti entre 5 sous-fonds. Un premier sous-fonds contient divers historiques de l'entreprise ainsi que des documents produits par la direction générale, soit essentiellement des procès-verbaux d'assemblées générales du Conseil d'administration et des procès-verbaux d'assemblées générales des actionnaires. Un deuxième sous-fonds rassemble les pièces comptables. Nous retrouvons d'une part, des journaux de comptes et divers rapports relatifs à la comptabilité de l'entreprise et d'autre part, divers registres contenant des informations au sujet des commandes, des livraisons et des facturations émises par l'entreprise. Un troisième sous-fonds rend compte des activités commerciales de Maillefer SA. Ce dernier a été décomposé en deux sections principales. Une première regroupe des documents "à usage interne de l'entreprise". Pour l'essentiel il s'agit de rapports, en général confidentiels, sur les activités des départements s'occupant de la vente des produits. Figure également des catalogues internes et des listes des prix, des concurrents et des clients. Une seconde section réunit d'une part des documents à usage publicitaire : essentiellement des catalogues et brochures présentant des gammes de produits. D'autre part, nous retrouvons des éléments rendant compte des pratiques et des stratégies promotionnelles des produits de l'entreprise : foires, expositions, séminaires auxquels l'entreprise a participé (ou même initié) et diapositives destinées à séduire des acheteurs potentiels. Un quatrième sous-fonds s'intéresse d'avantage à la dimension technique des activités de l'entreprise. Ce dernier se compose notamment d'études réalisées par l'entreprise sur ses machines et sur des matériaux. Une partie importante de ce sous-fonds est occupée par "la bibliothèque Maillefer" dans laquelle l'on retrouve notamment des études et des ouvrages réalisés par Charles-Edmond Maillefer. Un cinquième et dernier sous-fonds offre un point de vue sur le personnel et les activités sociales de l'entreprise. Premièrement, celui-ci se compose de listes et de photographies du personnel lors d'événements organisés par l'entreprise. Deuxièmement, de règlements encadrant les activités et les divers fonds d'aides mis à la disposition du personnel. De cette grande diversité d'éléments qui composent le fonds Maillefer, il est possible de mettre en relief quelques ensembles (en raison de leur intérêt ou de leur originalité), au même titre que quelques ensembles manquants ou supposés comme tel. Ce fonds contient des pièces atypiques. Il s'agit de caisses en bois volumineuses contenant des diapositives sur support de verre datant du début du vingtième siècle. Ces images de machines rendent compte plus généralement d'une stratégie commerciale adoptée semble- t-il dès les débuts de l'entreprise : la promotion des produits par l'image. L'on peut également souligner l'importance matérielle du sous-fonds "Fonction commerciale" notamment en comparaison au sous-fonds "Fonction technique". D'une part, le volume de ce sous-fonds trouve une explication dans la promotion d'envergure internationale des produits : chaque prospectus se décline au minimum en trois langues. D'autre part, étant donné que l'entreprise a été rachetée par Nokia en 1987, il est probable que les "diverses recettes techniques" (notamment la trentaine de brevets) élaborées par Maillefer soient toujours en possession de la firme finlandaise. Concernant les documents méritant peut-être une attention particulière, mentionnons : les rapports du contrôleur de gestion (PP 837/43); l'impôt fédéral sur les bénéfices de guerre (PP 837/52); les listes des concurrents et des clients (PP 837/60); les rapports d'activité du service marketing (PP 837/63); "Créer pour survivre" (PP 837/113). Pour les documents manquants, des lacunes peuvent être soulignées dans les procès-verbaux du Conseil d'administration (PP 837/25); dans les procès-verbaux de l'Assemblée générale des Actionnaires (PP 837/26); dans les rapports annuels du Conseil d'administration (PP 837/30); dans les journaux comptables (PP 837/34-35). Et de manière plus générale, ce fonds contient très peu d'informations au sujet de "l'ère Nokia".
Seul le grand livre a été conservé.
Seuls les grands livres ont été conservés.
Comprend des registre de comptes des Nicod, négociants; des carnets de voyage; des journaux et des registres de vente; de la correspondance; des livres de comptes; des journaux d'achats et de paiements; des liasses de journaux quotidiens et de pièces diverses; des procès-verbaux des séances de la Commission cantonale vaudoise pour la protection des monuments naturels; des comptes domestiques; les procédures instruites.
Les documents de ce fonds renseignent d'une part sur l'aspect historique avec plusieurs plaquettes commémoratives ou cassettes vidéo de présentation et d'autre part sur l'aspect administratif de l'entreprise avec des procès-verbaux, comptes, registres du personnel, correspondance commerciale,... Soulignons aussi un aspect plus humain de la vie d'entreprise avec beaucoup de photographies et quelques procès-verbaux d'animations et de sorties organisées par l'entreprise. Mais au-delà de la simple entreprise, la minoterie de Rivaz est aussi un site qui marqua de son profil austère le paysage bucolique des vignobles de Lavaux pendant des décennies. Le chercheur qui voudra se donner une idée des ces bâtiments, aujourd'hui détruits, trouvera nombre de photographies du site premier et de ses agrandissements périodiques.
Registres, factures.
Correspondance, pièces justificatives des comptes, factures, sorties et entrées de vacherins, journal de comptes, livres de caisses, traites et remises, copies d'effets, inventaires, livre des expéditions, rabais et positions financières, rapports de pesée, pièces comptables, règlements et prescriptions de l'USF.
Le fonds comprend des livres d'or; le premier prospectus; l'acte de fondation du Sanatorium; les rapports annuels et techniques; des listes et textes des patronnages d'honneur; des objections et réponses; de la documentation; des brochures imprimées diverses, ainsi que des clichés.
Correspondance, plans, convocations, rapports d'activité, documents en relation avec le matériel roulant et documents financiers.
Statuts, rôle des actionnaires, procès-verbaux, protocoles, correspondance, livres de caisse, brouillard, grand livre, contrats, balance des comptes, rapports et projet de nouvelle comptabilité.
Correspondance; comptes; publications et dossier sur le crématoire de Montoie; procès-verbaux des séances de comité et des assemblées générales; listes des membres; journaux des incinérations.
Comprend des documents administratifs et techniques en relation avec le tracé du Tramway du Sud-Ouest lausannois.
Fonds contenant: des procès-verbaux (livres et pièces annexes), correspondance (générale, privée et classée par thèmes et destinataires); documents financiers (Grand livres, livres de caisse, chèques postaux, frais généraux, rapports d'expertises, bilans, courrier de l'UBS et pièces comptables); fichier des personnes secourues; publication du BCA; objets divers.
Bilans, déclarations fiscales, formulaires d'impôt anticipé, liquidation de la CAM, notes d'honoraires du notaire, correspondance, prêts, actions au porteur, dissolution de la CAM, procès- verbaux, statuts, bordereau de contribution, quittances.
Comprend les statuts; divers documents comptables et financiers (journal, grand-livre, brouillard de caisse, facturation, compte de créanciers, livre de paie, amendes, salaires...); l'assurance obligatoire des ouvriers; un formulaire imprimé du début du 19ème siècle concernant les déclarations d'accident (loi fédérale de 1877); des livres d'expédition et de commandes; des copies de correspondance; des carnets de comptes; des factures de fournisseurs; des contrats, conventions et patentes; des inventaires; des dossires de litige; des papiers relatifs à la liquidation de l'Industrielle; la correspondance et les affaires traitées depuis la liquidation; des prix courants et catalogues; des lettres de change.
Procès-verbaux, actes notariés, statuts, contrats, loyers, obligations, parts de fondateurs, conventions, inventaire, économie de guerre, correspondance, protocoles, livres de comptes, paies des bureaux, douments divers en relation avec la direction, livres de paie, listes du personnel, provisions, affaires militaires, journaux de comptes, livres de factures, grands livres, livres de caisse, balances, paies, brouillards, portefeuilles, règlement des comptes, dossiers annuels, registres de fabrication, inventaires de fabrication, brevets, plans, statistiques, fabrications non-horlogères, et documents divers.
Comprend la correspondance générale et particulière de l'entreprise, l'ensemble des éléments financiers de de fabrication, les documents commerciaux et de gestion de l'entreprise (enparticulier les affaires d'ouvriers, les foires fréquentées, les extensions et diversifications de l'entreprise) ; la présence de la famille Mercier dans l'Hôtel des Bains de Lavey et le Collège Galliard (Lausanne).
Les archives ont fait l'objet d'un bordereau de livraison et comportent des répertoires du contenu des classeurs. Un historique de la fabrique d'horlogerie, Louis-Elisée Piguet (1836-1924), entre 1858 et 1970, établi en décembre 1987 est inséré dans le classeur Louis-Elisée Piguet et ses successeurs, 1836-1948, avec un choix de documents de référence. Ce travail a été constitué par Jacques Frédéric Piguet, en août 2008. Ce fonds comprend essentiellement des archives d'entreprises et quelques archives privées de Louis-Elisée Piguet. Des documents plus récents, notamment des inventaires faits par Frédéric et Jacques Piguet, ainsi que des travaux de synthèse et d'analyse y ont été inclus. Le fonds a été divisé en trois parties. Les deux premières concernent la fabrique d'horlogerie, au temps de son fondateur Louis-Elisée, puis de ses successeurs. La dernière regroupe les documents sur le Service des Eaux du Brassus. En guise d'introduction se trouve un historique de la famille Piguet et de son entreprise. Le plan des canalisations du village du Brassus, établi en mai 1897 par le géomètre-breveté, Marius Piguet,du Sentier, a été placé sous la cote GC 1140/20. La majeure partie du fonds est constituée de registres d'entreprise : livre de caisse de Louis-Elisée Piguet (1877-1887); livres de commande (1922-1966); livre de paies (1896-1930); livre des amendes (1893-1898); livres des débiteurs (1896-1927); livres des créanciers (1907-1951); livre des ouvriers (1891-1894); livre de fabrication (1892-1930). A cela s'ajoutent les notes techniques et autres croquis liées aux productions horlogères de la fabrique : les notes de Louis-Elisée Piguet sur les répétitions et grandes sonneries; un cahier sur les montres à sonnerie, de Louis-Elisée Piguet (1892-1969); un ancien cahier de croquis d'élévation de rouages de calibres divers. En plus de ces ouvrages, deux registres contenant les doubles de la correspondance privée et professionnelle de Louis-Elisée Piguet (1883-1887) et de son fils Henri-Louis Piguet (1903-1920), les actes concernant "le Moulin" du Brassus (1767-1891), des brevets d'invention (1890-1957), ainsi qu'unregistre de la Société des Amis de l'Instruction au Brassus, viennent compléter le fonds. La partie concernant le Service des Eaux du Brassus, petite entreprise annexe de la famille Piguet, contient de nombreux plans, des conventions et polices de distribution d'eau au Brassus établies entre le propriétaire et les abonnés, de la correspondance et les documents traitant du projet de vente du service à la Commune du Chenit.
Comptes, correspondance se rapportant aux difficultés financières et aux entreprises au domaine de Clarens (papeterie, blanchisserie) et discussion juridique de ses biens : lettres de rente, comptes, correspondance, etc. (y compris des detes contractées par son père Antoine Reboul).
Le fonds contient les Annuaires du Registre professionnel du canton de Vaud (1943-1994), divisé en 2 parties : par localités et par groupes de professions, puis en 3 parties à partir de 1945 : par localité, par groupe de profession et par ordre alphabétique. Le Registre comptait 13 catégories de métiers, 14 dès 1948, à savoir : 1° Administration, 2° Alimentation, 3° Maçonnerie et génie civil, 4° Bâtiment, 5° Bois, articles en bois, ameublement, 6° Commerce, artisanat, industrie, divers, 7° Cuirs et peaux, 8° Culture et produits du sol, 9° Horlogerie, bijouterie, orfèvrerie (depuis 1948), 10° Hôtellerie et restauration, 11° Hygiène et produits chimiques, 12° Métaux et automobiles, 13° Papiers, arts graphiques, articles de bureau, publicité, 14° Textiles. Parmi les archives du Registre professionnelle se trouve le bulletin mensuel de l'Union vaudoise des associations industrielles, commerciales et des métiers intitulé « Le courrier » (1931 à 1993). Un certain nombre de livres de droit, de comptabilité ou d'histoire forme la bibliothèque. Le fonds comprend également de la correspondance, de la législation, des comptes, des dossiers individuels des entreprises et des dossiers suspendus des différentes catégories de métiers. Le fonds a ainsi été divisé en 5 sous-fonds : 1° Administration-organisation 2° Publications 3° Dossiers des entreprises 4° Dossiers des familles de métiers 5° Bibliothèque
Comprend : procès-verbaux, statuts, enquêtes sur les salaires, analyses et classifications des fonctions, bases de rémunération, grands livres, comptes, produits, balances, historiques des départements, rapports techniques et divers, cours du professeur Goldschmidt à l'EPFL sur les courants faibles, dossiers de formation des apprentis, câbles et coupes de câbles, brevets, fils téléphoniques, prospectus, descriptions techniques imprimées, montages audiovisuels, photographies, , chronologies de l'entreprise, dossiers de sociétés affiliées : Société Immobilière de Cossonay-Gare, Electrro-Matériel SA, à Zurich, Ksolierrohfabrik, à Hallau, Société anonyme de Participation Appareillage Gardy, à Neuchatel, entre 1923 et 1995. Comprend les archives de l'entreprise Aubert, Grenier et Cie, entre 1899 et 1923, à l'orgine, avec les Usines Méttalurgiques de Dornach, de la Sociét anonyme des Laminoirs et Câbleries avec sièges à Dornach et à Cossonay, en 1918.
Le fonds contient des archives administratives dont les procès-verbaux et la correspondance du Conseil d'administration et de direction et financières dont le Grand Livre. On trouve également des rapports d'activité, une collection des catalogues de vente édités par l'entreprise ainsi que des catalogues de vente de la concurrence en Suisse, en France, en Italie, en Autriche et en Allemagne. Journaux de l'entreprise (Le Lien, Buyère Actualité et Quat'Saisons, à usage interne, et le Journal de la Maison Charles Veillon à Lausanne, destiné aux clients de l'entreprise). Archives personnelles de Charles Veillon avec ses dossiers de recherche et ses différentes publications, ainsi que photographies de membres de la famille Veillon, remontant jusqu'au XIXe siècle. Livres de référence de la bibliothèque, surtout en matière économique. Affiches, graphismes, photographies et iconographie, enregistrements sonores et films, coupures de presse. A l'exception de quelques livres de comptes couvrant la période de 1905 à 1923, les archives de l'agence de La Chaux-de-Fonds sont quasi inexistantes jusqu'à la séparation des associées et l'installation de Charles Veillon à Lausanne en 1943. Des tableaux généraux donnant les principaux paramètres de l'évolution de l'entreprise commencent en 1939.
Comprend procès-verbaux, comptes, correspondance, rapports, photographies et coupures de presse.
Archives de la Société, siège central, appelée d'abord de 1846 à 1964 : Société vaudoise de secours mutuels, puis dès 1965, Société vaudoise et romande de secours mutuels, enfin dès 12 novembre 1986 Supra. Caisse maladie et accident pour la Suisse : Procès-verbaux du comité directeur, 27 août 1845-1999, 88 registres; Protocoles des assemblées générales, 1855-1876, 1 registre; Procès-verbaux des assemblées générales de la Fédération des Caisses de secours, 1912-1913, 1 registre; Grand livre, 1894-1911, 1 registre; Circulaires du comité central, 1871-1891, 1871-1923, 1930-1941, 3 registres; Copie-lettres, 1904-1930; Contrôle des sociétaires malades, 1914-1916, 1 registre avec répertoire; Réorganisation de la société (statuts, fonctionnements, 1934-1937), 2 registres; Correspondance, 1914-1941, 1 registre; Fonds de secours et de roulement, 1922-1927, documents isolés. Statuts, imprimés, rapports d'activité, 1900-1973; Papiers isolés pour quelqu'un qui voudrait refaire l'histoire de la société, mars1961, soit documents officiels (papier à lettres, formulaires) et statuts; livrets de sociétaires, 1888-1930; dossiers de membres de la Fédération des sociétés de secours mutuels de la Suisse romande (Genève, Neuchâtel, Caisse d'assurance infantile en cas de maladie, avec parents, formulaires, divers imprimés), réunis pour le centenaire de la société. Photographies encadrées de Abram-Daniel Meystre, 1812-1870, préfet de Lausanne, membre fondateur de la Société vaudoise de secours mutuels, le 27 août 1845, à Lausanne (la section de Lausanne se constitua en société cantonale indépendante de celle de Genève, le 14 juin 1846 - elle prit alors le nom de la Société vaudoise de secours mutuels); de Samuel Cuénoud, syndic de Lausanne et Jean Willenegger, mort le 5 mai 1943, à Renens; des délégués des sociétés de secours mutuels de Suisse romande, 1923, et de deux réunions de sociétaires, sans date. Archives des sections : Aubonne : procès-verbaux du comité, 1850 1869,1881-1895, 2registres;procès-verbaux des assemblées générales, 1929-1958. Avenches : procès-verbaux du comité, 1881-1922,1 registre Baulmes : procès-verbaux du comité, 1869-1894; procès-verbaux des assemblées générales, 1901-1918, 1920-1960, 3 registres, documents isolés : 1947-1954 Bex : procès-verbaux de l'assemblée générale et du comité, 1884-1936, 1 registre. Bière : procès-verbaux des assemblées générales, 1874-1959, 1 registre. Cully : procès-verbaux des assemblées générales, 1852-1882, 1 registre. Echallens : procès-verbaux des assemblées générales, 1901-1950. Gimel : procès-verbaux des assemblées générales, 1915-1965; caisse, 1952-1988; pièces isolées (procès-verbaux, rapports, imprimés), 1946-1954. Lausanne : procès-verbaux du comité, 1846-1918, 7 registres, livres de caisses, 1858, 1862, 1864-21865, 1906-1907, 1908-1909, 1910-1911, 1939-1944, 7 registres; certificats de propriété, 1905-1908, 1 registre et 1 enveloppe; circulaires, 1850-1872, 1892-1912, 2 registres et 1 enveloppe;copie-lettres, 1847-1872; plaque en émail "Société vaudoise desecours mutuels - Section Lausanne". Lucens : circulaires, lettres, rapports, 1887-1905, 1 cartable. Montreux: procès-verbaux du comité, 1870-1896, et des assemblées générales, 1870-1899, 1920-1979, 3 registres. Moudon : procès-verbaux des séances de comité, 1848-1868, et des assemblées générales, 1846-1880, 2 registres. Payerne : procès-verbaux des assemblées générales, 1926-1946, 1 registre. Saint-Cierges: procès-verbaux des séances de comité, 1894-1896, 1 registre et 1 enveloppe; procès-verbaux des assemblées générales, 1919-1949, 1 registre; Circulaires et lettres reçues, 1914-1918, 1 cartable, cotisations, 1939-1950, 1 registre; Livre de caisse, 1894-1931, 1 cahier; documents épars, 1944-1967. Vevey : procès-verbaux des séances de comité, 1929-1959, 1 registre.
Outre les documents sous forme papier, on trouve aussi des documents audiovisuels, des objets, des drapeaux, des affiches et de nombreux imprimés. La belle collection de 43 drapeaux, étendards et fanions (dont certains, vieux de plus d'un siècle), proviennent de formations syndicales insoupçonnées) Un sous-fonds est composé de livres et de divers autres imprimés traitant presqu'exclusivement des problèmes sociaux ainsi qu'une collection complète, de 1908 à 2003, des organes de presse de la Fédération des travailleurs de la métallurgie et de l'horlogerie : Le Métallurgiste, La lutte syndicale, L'Evénement syndical et l'Apprenti. On trouve également les organes officiels du Syndicat Industrie et Bâtiment de 1929 à 1998, avec quelques lacunes, ainsi que les séries complètes des organes dela Fédération des travailleurs du commerce, des transports et de l'alimentation, Solidarité FCTA. Mais la grande majorité du fonds, qui se divise en deux grandes lignes : les secrétariats régionauxde Lausanne et les sections locales du canton, reste le résultat du travail de bureau : procès-verbaux, listes de membres, comptabilité, rapports divers, informations et directives pour les membres, pour les groupes de travail et de métiers certains avec des notes, quelquefois pertinentes, des secrétaires de section et naturellement toute une correspondance des plus diverse. On trouve enfin la gestion des manifestations, tant externes qu'internes, des cours et des nombreux camps, ainsi que l'aménagement des différents biens immobiliers, ainsi que d'une nombreuse revue de presse. Historique des syndicats vaudois à l'origine d'UNIA : en octobre 2004, les syndicats Industrie et bâtiment (SIB), Fédération des travailleurs de la métallurgie et de l'horlogerie (FTMH), Fédération des travailleurs du commerce, des transports et de l'alimentation (FCTA) et Unia, syndicat du tertiaire créé en 1996 (qu'il ne faut pas confondre avec le nouvel Unia), ont fusionné pour fonder le syndicat Unia. Ils possédaient tous les trois des archives régionales datant du milieu du 19e siècle. En effet, dès la première moitié du 19e siècle de nombreuses fédérations, groupements et associations d'ouvriers commencent à se regrouper aux seins d'organisations plus importantes au niveau suisse bien que les organisations vaudoises ont eu plus de mal à se départir de leurs prérogatives. Les ouvriers de la métallurgie et de l'horlogerie fondèrent en 1915 la FTMH, cette même année la FCTA regroupe les meuniers, les tonneliers, les charbonniers, les jardiniers, les ouvriers du tabac, des brasseries, des boucheries, des laiteries, des charretiers, des cochers et des conducteurs, des nettoyeurs, des magasiniers des emballeurs et des garçons de course. En raison de la structure hétérogène des branches et dela rapide mutation structurelle dans le secteur tertiaire, l'effectif des membres de la FCTA commença à se replier à partir du milieu des années soixante. Quant aux ouvriers appartenant aux industriesdu bois, du bâtiment, des pierres et des terres, de la charpenterie, de la plâtrerie et peinture, ils fusionnèrent en 1920-1922 pour former la Fédération des ouvriers sur bois et du bâtiment (FOBB). En 1974 ce dernier syndicat prit l'appellation de Syndicat du bois et du bâtiment (SBB) et dix ans plus tard, en fusionnant avec la Fédération du personnel du textile, de la chimie et du papier (FTCP) deviendra le syndicat SIB. Pour chacun de ces syndicats un secrétariat régional romand (tous ont élu domicile à Lausanne) est créé ainsi que des sections locales dressées principalement sur les anciennes structures d'organisations ouvrières. Les procès-verbaux nous révèlent l'évolution de ces structures d'abord avec des séances organisées dans les arrières salles de cafés, ou simplement dans unlocal de l'entreprise où le secrétaire, ayant pris ses notes, les retransmet au propre chez lui sur un simple cahier d'écolier. On peut même dire que le terme de secrétaire syndical avait tout son sensdans la première moitié du XXe siècle, car c'est à lui que l'on demandait d'effectuer la correspondance, la comptabilité et il n'est pas rare de trouver subitement des pages blanches ou de lire dans ces cahiers que le président doit faire la synthèse des PV d'une certaine période faute de trouver un nouveau secrétaire, de noter à chaque séance une écriture différente, voire même une langue différente, où encore on retrouve un secrétaire seul à se présenter à la réunion, "Présent : 1" et après avoir retranscrit fidèlement l'ordre du jour il marque de dépit : "Lorsqu'il y a des revendications, il y a plus de personnes que de membres, ensuite tout le monde se désintéresse." Mais à partir du second tiers du siècle, les syndicats se développent, les secrétaires régionaux peuvent enfin accéderà un bureau et même avoir droit, pour certain, à une employée de bureau, polyvalente, il va sans dire. Plus les années avances plus la structure se complète et se professionnalise. Aux fils des ans lessecrétaires deviennent permanents, les délégués doivent suivre des cours, à la simple secrétaire s'ajoute les comptables, les employés de commerce, les aides de bureau et tout naturellement la paperasserie s'accroît en proportion, le simple rédigé manuscrit devient un polycopié, une photocopie et enfin un imprimé. C'est de tout cela qu'est constitué le fonds PP 907, où, si l'on retrouve bien les luttes syndicales, c'est surtout la vie des sections qui est représentée : les informations aux membres, les journaux comptables, les notes des secrétaires pour leur cours ou les présentations aux assemblées. C'est par le biais des rapports de consultations paritaires, des directives, des renseignements plutôt confidentiels sur les entreprises, que l'on suit le mouvement syndical, les grèves, les conflits. Sous les pavés la dactylographe et le secrétaire, le juriste et le militant. Mais nous y trouvons également ce qui égaie les bureaux : les excursions, les soirées de fin d'année et le partageavec les syndiqués des jours de stage à La Varlope ou au chalet du Moléson, des repas de fête telle la fameuse "soupe aux pois" de Sainte-Croix ou les soirées des jubilaires qui font le plein de souvenirs dans les têtes et remplir de photographies les cartons. N'oublions surtout pas la fête du travail où tous s'activent, préparation des discours, notes de frais et listing des membres. Naturellement la liste est bien incomplète dans ce résumé on l'on pourrai ajouter le chômage, les assurances sociales, les comités de solidarités, etc.
Grand livre, comptes généraux, comptes débiteurs, journal de caisse, comptabilité, frais généraux, comptes de chèques postaux, registres de caisse, brevets d'invention, actes notariés, correpondance, procès-verbaux, dossiers de liquidation.