Grand livre, comptes généraux, comptes débiteurs, journal de caisse, comptabilité, frais généraux, comptes de chèques postaux, registres de caisse, brevets d'invention, actes notariés, correpondance, procès-verbaux, dossiers de liquidation.
Comptes, fourres de livres.
Prospectus, obligations, émissions d'actions, listes de prix.
Comprend des documents administratifs et techniques en relation avec le tracé du Tramway du Sud-Ouest lausannois.
Outre les documents sous forme papier, on trouve aussi des documents audiovisuels, des objets, des drapeaux, des affiches et de nombreux imprimés. La belle collection de 43 drapeaux, étendards et fanions (dont certains, vieux de plus d'un siècle), proviennent de formations syndicales insoupçonnées) Un sous-fonds est composé de livres et de divers autres imprimés traitant presqu'exclusivement des problèmes sociaux ainsi qu'une collection complète, de 1908 à 2003, des organes de presse de la Fédération des travailleurs de la métallurgie et de l'horlogerie : Le Métallurgiste, La lutte syndicale, L'Evénement syndical et l'Apprenti. On trouve également les organes officiels du Syndicat Industrie et Bâtiment de 1929 à 1998, avec quelques lacunes, ainsi que les séries complètes des organes dela Fédération des travailleurs du commerce, des transports et de l'alimentation, Solidarité FCTA. Mais la grande majorité du fonds, qui se divise en deux grandes lignes : les secrétariats régionauxde Lausanne et les sections locales du canton, reste le résultat du travail de bureau : procès-verbaux, listes de membres, comptabilité, rapports divers, informations et directives pour les membres, pour les groupes de travail et de métiers certains avec des notes, quelquefois pertinentes, des secrétaires de section et naturellement toute une correspondance des plus diverse. On trouve enfin la gestion des manifestations, tant externes qu'internes, des cours et des nombreux camps, ainsi que l'aménagement des différents biens immobiliers, ainsi que d'une nombreuse revue de presse. Historique des syndicats vaudois à l'origine d'UNIA : en octobre 2004, les syndicats Industrie et bâtiment (SIB), Fédération des travailleurs de la métallurgie et de l'horlogerie (FTMH), Fédération des travailleurs du commerce, des transports et de l'alimentation (FCTA) et Unia, syndicat du tertiaire créé en 1996 (qu'il ne faut pas confondre avec le nouvel Unia), ont fusionné pour fonder le syndicat Unia. Ils possédaient tous les trois des archives régionales datant du milieu du 19e siècle. En effet, dès la première moitié du 19e siècle de nombreuses fédérations, groupements et associations d'ouvriers commencent à se regrouper aux seins d'organisations plus importantes au niveau suisse bien que les organisations vaudoises ont eu plus de mal à se départir de leurs prérogatives. Les ouvriers de la métallurgie et de l'horlogerie fondèrent en 1915 la FTMH, cette même année la FCTA regroupe les meuniers, les tonneliers, les charbonniers, les jardiniers, les ouvriers du tabac, des brasseries, des boucheries, des laiteries, des charretiers, des cochers et des conducteurs, des nettoyeurs, des magasiniers des emballeurs et des garçons de course. En raison de la structure hétérogène des branches et dela rapide mutation structurelle dans le secteur tertiaire, l'effectif des membres de la FCTA commença à se replier à partir du milieu des années soixante. Quant aux ouvriers appartenant aux industriesdu bois, du bâtiment, des pierres et des terres, de la charpenterie, de la plâtrerie et peinture, ils fusionnèrent en 1920-1922 pour former la Fédération des ouvriers sur bois et du bâtiment (FOBB). En 1974 ce dernier syndicat prit l'appellation de Syndicat du bois et du bâtiment (SBB) et dix ans plus tard, en fusionnant avec la Fédération du personnel du textile, de la chimie et du papier (FTCP) deviendra le syndicat SIB. Pour chacun de ces syndicats un secrétariat régional romand (tous ont élu domicile à Lausanne) est créé ainsi que des sections locales dressées principalement sur les anciennes structures d'organisations ouvrières. Les procès-verbaux nous révèlent l'évolution de ces structures d'abord avec des séances organisées dans les arrières salles de cafés, ou simplement dans unlocal de l'entreprise où le secrétaire, ayant pris ses notes, les retransmet au propre chez lui sur un simple cahier d'écolier. On peut même dire que le terme de secrétaire syndical avait tout son sensdans la première moitié du XXe siècle, car c'est à lui que l'on demandait d'effectuer la correspondance, la comptabilité et il n'est pas rare de trouver subitement des pages blanches ou de lire dans ces cahiers que le président doit faire la synthèse des PV d'une certaine période faute de trouver un nouveau secrétaire, de noter à chaque séance une écriture différente, voire même une langue différente, où encore on retrouve un secrétaire seul à se présenter à la réunion, "Présent : 1" et après avoir retranscrit fidèlement l'ordre du jour il marque de dépit : "Lorsqu'il y a des revendications, il y a plus de personnes que de membres, ensuite tout le monde se désintéresse." Mais à partir du second tiers du siècle, les syndicats se développent, les secrétaires régionaux peuvent enfin accéderà un bureau et même avoir droit, pour certain, à une employée de bureau, polyvalente, il va sans dire. Plus les années avances plus la structure se complète et se professionnalise. Aux fils des ans lessecrétaires deviennent permanents, les délégués doivent suivre des cours, à la simple secrétaire s'ajoute les comptables, les employés de commerce, les aides de bureau et tout naturellement la paperasserie s'accroît en proportion, le simple rédigé manuscrit devient un polycopié, une photocopie et enfin un imprimé. C'est de tout cela qu'est constitué le fonds PP 907, où, si l'on retrouve bien les luttes syndicales, c'est surtout la vie des sections qui est représentée : les informations aux membres, les journaux comptables, les notes des secrétaires pour leur cours ou les présentations aux assemblées. C'est par le biais des rapports de consultations paritaires, des directives, des renseignements plutôt confidentiels sur les entreprises, que l'on suit le mouvement syndical, les grèves, les conflits. Sous les pavés la dactylographe et le secrétaire, le juriste et le militant. Mais nous y trouvons également ce qui égaie les bureaux : les excursions, les soirées de fin d'année et le partageavec les syndiqués des jours de stage à La Varlope ou au chalet du Moléson, des repas de fête telle la fameuse "soupe aux pois" de Sainte-Croix ou les soirées des jubilaires qui font le plein de souvenirs dans les têtes et remplir de photographies les cartons. N'oublions surtout pas la fête du travail où tous s'activent, préparation des discours, notes de frais et listing des membres. Naturellement la liste est bien incomplète dans ce résumé on l'on pourrai ajouter le chômage, les assurances sociales, les comités de solidarités, etc.
Le Cartel vaudois étant surtout un auxiliaire des autres syndicats, on trouve en premier lieu une correspondance et des doubles de documents envoyés par ces syndicats. Il y a également la gestion d'événements spécifique, en particulier les défilés du 1er mai. Outre les documents sous forme papier, on trouve également des photographies. Un sous-sous-fonds (PP 908/28-111) est réservé aux conventions collectives du travail qui sont, depuis 1937, l'ossature de ce que l'on nomme, à défaut, la "Paix du travail". A travers elles, l'étude sociale du canton de Vaud durant tout le vingtième siècle en est facilitée car l'on peut suivre l'évolution des salaires, par exemple, ainsi que la plupart des problèmes ouvriers de 1903, la plus ancienne convention particulière à disposition, à 2003. Historique des syndicats vaudois : dès la seconde moitié du XIXe siècle l'idée « d'émancipation ouvrière » fait son chemin dans le canton de Vaud et une multitude de corporations voient le jour dans les différents corps de métier. Certaines sont très actives, voire de tendance anarchiste, d'autres sont plus réservées et suivent plutôt les mouvements moins radicaux comme le groupe du Grütli. Après les grèves au début du 20e siècle, le syndicalisme révolutionnaire aboutit à un fiasco et un rapprochement avec la Suisse alémanique se fit sentir. La reconquête des syndicats se fit à partir du sommet par l'action des fédérations de l'union syndicale suisse, qui créèrent une "Confédération romande du travail" mais cette voie aboutit à une impasse. En revanche, du côté cantonal et surtout parmi les salariés, la reconstruction réussit infiniment mieux et put compter sur l'aide efficace de militants suisses-allemands et de sections syndicales alémaniques dont certaines, notamment sur la Riviera,étaient solidement implantées chez nous. Il fallut néanmoins plusieurs années pour que le mouvement ouvrier retrouvât son équilibre et à la veille de la Première Guerre mondiale, l'entreprise était achevéeet, parallèlement, Parti socialiste, syndicats et coopératives avaient trouvé leur assiette. En 1922 le canton comptait un peu plus de 8000 syndiqués groupés dans les différentes fédérations de l'Union syndicale suisse (USS). Le secrétaire de l'Union syndicale de Lausanne fit un rapport : « Pour qui connaît le mouvement syndical de notre pays, on est frappé de l'infériorité de l'organisation ouvrière en Suisse romande et dans le canton de Vaud en particulier. La cause de cette infériorité pour notre canton réside dans l'éparpillement des forces. Que voyons-nous dans notre canton ? Un secrétariat local et trois secrétariats régionaux dont l'activité s'exerce sur plusieurs cantons. Le cartel serait formé de toutes les sections vaudoises et des sections de Fribourg et du Valais qui y adhéreraient. » (cf. 50e anniversaire 1929-1979 CSV). Le besoin d'un cartel vaudois se faisant donc nettement sentir, la création du Cartel syndical vaudois (CSV) se fit le 28 avril 1929. Dans le rapport cité de 1922 on invoque les différentes tâches qui seraient confiées au cartel : "Le cartel aura pour tâche d'intensifier la propagande, de renforcer les syndicats actuels et d'en créer de nouveaux. » Il secondera le travail des fédérations et de leurs secrétariat et s'occupera particulièrement des organisations qui ne possèdent pas de secrétariat ou qui ne se rattachent à aucune fédération centrale pour les y réunir, ou qui n'en possèdent pas encore. » Il devra se rendre à l'appel des organisations qui auront besoin de ses services et participera à leurs activités." (cf. ouvrage cité.) Ces divers points contiennent pratiquement l'entier de ce qui compose le fonds PP 908 et lorsqu'en octobre 2004, les syndicats Industrie et bâtiment (SIB), Fédération des travailleurs de la métallurgieetde l'horlogerie (FTMH), Fédération des travailleurs du commerce, des transports et de l'alimentation (FCTA) et Unia, syndicat du tertiaire (qu'il ne faut pas confondre avec le nouvel Unia), ont fusionnépour fonder le syndicat Unia, les dossiers particuliers à l'Union syndicale suisse et vaudoise et surtout au Cartel syndical vaudois ont été retrouvé dans les archives de ces entités.
Comprend des procès-verbaux des assemblées générales des Sociétés immobilières Mont-Charmant A et B; des conventions; des comptes; de la correspondance; un journal; des pièces justificatives.
Archives de la Société, siège central, appelée d'abord de 1846 à 1964 : Société vaudoise de secours mutuels, puis dès 1965, Société vaudoise et romande de secours mutuels, enfin dès 12 novembre 1986 Supra. Caisse maladie et accident pour la Suisse : Procès-verbaux du comité directeur, 27 août 1845-1999, 88 registres; Protocoles des assemblées générales, 1855-1876, 1 registre; Procès-verbaux des assemblées générales de la Fédération des Caisses de secours, 1912-1913, 1 registre; Grand livre, 1894-1911, 1 registre; Circulaires du comité central, 1871-1891, 1871-1923, 1930-1941, 3 registres; Copie-lettres, 1904-1930; Contrôle des sociétaires malades, 1914-1916, 1 registre avec répertoire; Réorganisation de la société (statuts, fonctionnements, 1934-1937), 2 registres; Correspondance, 1914-1941, 1 registre; Fonds de secours et de roulement, 1922-1927, documents isolés. Statuts, imprimés, rapports d'activité, 1900-1973; Papiers isolés pour quelqu'un qui voudrait refaire l'histoire de la société, mars1961, soit documents officiels (papier à lettres, formulaires) et statuts; livrets de sociétaires, 1888-1930; dossiers de membres de la Fédération des sociétés de secours mutuels de la Suisse romande (Genève, Neuchâtel, Caisse d'assurance infantile en cas de maladie, avec parents, formulaires, divers imprimés), réunis pour le centenaire de la société. Photographies encadrées de Abram-Daniel Meystre, 1812-1870, préfet de Lausanne, membre fondateur de la Société vaudoise de secours mutuels, le 27 août 1845, à Lausanne (la section de Lausanne se constitua en société cantonale indépendante de celle de Genève, le 14 juin 1846 - elle prit alors le nom de la Société vaudoise de secours mutuels); de Samuel Cuénoud, syndic de Lausanne et Jean Willenegger, mort le 5 mai 1943, à Renens; des délégués des sociétés de secours mutuels de Suisse romande, 1923, et de deux réunions de sociétaires, sans date. Archives des sections : Aubonne : procès-verbaux du comité, 1850 1869,1881-1895, 2registres;procès-verbaux des assemblées générales, 1929-1958. Avenches : procès-verbaux du comité, 1881-1922,1 registre Baulmes : procès-verbaux du comité, 1869-1894; procès-verbaux des assemblées générales, 1901-1918, 1920-1960, 3 registres, documents isolés : 1947-1954 Bex : procès-verbaux de l'assemblée générale et du comité, 1884-1936, 1 registre. Bière : procès-verbaux des assemblées générales, 1874-1959, 1 registre. Cully : procès-verbaux des assemblées générales, 1852-1882, 1 registre. Echallens : procès-verbaux des assemblées générales, 1901-1950. Gimel : procès-verbaux des assemblées générales, 1915-1965; caisse, 1952-1988; pièces isolées (procès-verbaux, rapports, imprimés), 1946-1954. Lausanne : procès-verbaux du comité, 1846-1918, 7 registres, livres de caisses, 1858, 1862, 1864-21865, 1906-1907, 1908-1909, 1910-1911, 1939-1944, 7 registres; certificats de propriété, 1905-1908, 1 registre et 1 enveloppe; circulaires, 1850-1872, 1892-1912, 2 registres et 1 enveloppe;copie-lettres, 1847-1872; plaque en émail "Société vaudoise desecours mutuels - Section Lausanne". Lucens : circulaires, lettres, rapports, 1887-1905, 1 cartable. Montreux: procès-verbaux du comité, 1870-1896, et des assemblées générales, 1870-1899, 1920-1979, 3 registres. Moudon : procès-verbaux des séances de comité, 1848-1868, et des assemblées générales, 1846-1880, 2 registres. Payerne : procès-verbaux des assemblées générales, 1926-1946, 1 registre. Saint-Cierges: procès-verbaux des séances de comité, 1894-1896, 1 registre et 1 enveloppe; procès-verbaux des assemblées générales, 1919-1949, 1 registre; Circulaires et lettres reçues, 1914-1918, 1 cartable, cotisations, 1939-1950, 1 registre; Livre de caisse, 1894-1931, 1 cahier; documents épars, 1944-1967. Vevey : procès-verbaux des séances de comité, 1929-1959, 1 registre.
Correspondance; comptes; publications et dossier sur le crématoire de Montoie; procès-verbaux des séances de comité et des assemblées générales; listes des membres; journaux des incinérations.
Procès-verbaux du comité, des assemblées générales, conférences avec les délégués commerciaux, rapports, correspondance
Comprend procès-verbaux, comptes, correspondance, rapports, photographies et coupures de presse.
Comprend tous les documents liés au développement de la production et de la distribution d'électricité de la SRE et de ses 2 sociétés annexes, à savoir : la SEVM (Société Electrique de Vevey-Montreux), devenue VMCV (Transports publics de la Riviera). Et la SFMGE (Société des Forces Motrices de la Grande-Eau).
Statuts, rôle des actionnaires, procès-verbaux, protocoles, correspondance, livres de caisse, brouillard, grand livre, contrats, balance des comptes, rapports et projet de nouvelle comptabilité.
Comprend les rapports annuels; les procès-verbaux; de la correspondance; des rapports d'activité; des dossiers techniques; de nombreux imprimés.
Correspondance, plans, convocations, rapports d'activité, documents en relation avec le matériel roulant et documents financiers.
Le fonds comprend quatre sections principales : le cadre juridique, l'administration, les finances et l'exploitation. La plupart des documents sont des feuilles de papier, parfois très fines et de mauvaise qualité. Mentionnons aussi l'existence de quelques photographies et d'échantillons de tissu. Les documents couvrent toute la durée de l'existence du Rolle-Gimel. Contrairement aux archives du Montreux- Oberland Bernois (MOB) (ACV, PP 738), les archives du Rolle-Gimel contiennent des éléments techniques et de correspondance importants. Leur apport ne se limite donc pas à des informations d'ordre administratif et comptable, mais elles offrent des renseignements plus larges d'ordre social, technique ou anecdotique (exemplaires de billets, horaires).
Le fonds contient des archives administratives dont les procès-verbaux et la correspondance du Conseil d'administration et de direction et financières dont le Grand Livre. On trouve également des rapports d'activité, une collection des catalogues de vente édités par l'entreprise ainsi que des catalogues de vente de la concurrence en Suisse, en France, en Italie, en Autriche et en Allemagne. Journaux de l'entreprise (Le Lien, Buyère Actualité et Quat'Saisons, à usage interne, et le Journal de la Maison Charles Veillon à Lausanne, destiné aux clients de l'entreprise). Archives personnelles de Charles Veillon avec ses dossiers de recherche et ses différentes publications, ainsi que photographies de membres de la famille Veillon, remontant jusqu'au XIXe siècle. Livres de référence de la bibliothèque, surtout en matière économique. Affiches, graphismes, photographies et iconographie, enregistrements sonores et films, coupures de presse. A l'exception de quelques livres de comptes couvrant la période de 1905 à 1923, les archives de l'agence de La Chaux-de-Fonds sont quasi inexistantes jusqu'à la séparation des associées et l'installation de Charles Veillon à Lausanne en 1943. Des tableaux généraux donnant les principaux paramètres de l'évolution de l'entreprise commencent en 1939.
Comprend le cahier de comptabilité de la fête de la Société cantonale vaudoise des secours mutuels à Moudon de 1877; avec un rapport de la commission des comptes en annexe.
Procès-verbaux, obligations hypothécaires, patente, comtes des exercices, comte de liquidation, actions, pièces comptables, pièces relatives aux frais administratifs, lot de quittances, liste des actions remboursées, correspondance, publications de la mise en liquidation.
Comprend : procès-verbaux, statuts, enquêtes sur les salaires, analyses et classifications des fonctions, bases de rémunération, grands livres, comptes, produits, balances, historiques des départements, rapports techniques et divers, cours du professeur Goldschmidt à l'EPFL sur les courants faibles, dossiers de formation des apprentis, câbles et coupes de câbles, brevets, fils téléphoniques, prospectus, descriptions techniques imprimées, montages audiovisuels, photographies, , chronologies de l'entreprise, dossiers de sociétés affiliées : Société Immobilière de Cossonay-Gare, Electrro-Matériel SA, à Zurich, Ksolierrohfabrik, à Hallau, Société anonyme de Participation Appareillage Gardy, à Neuchatel, entre 1923 et 1995. Comprend les archives de l'entreprise Aubert, Grenier et Cie, entre 1899 et 1923, à l'orgine, avec les Usines Méttalurgiques de Dornach, de la Sociét anonyme des Laminoirs et Câbleries avec sièges à Dornach et à Cossonay, en 1918.
Comprend la comptabilité de l'entreprise.
Le fonds comprend des livres d'or; le premier prospectus; l'acte de fondation du Sanatorium; les rapports annuels et techniques; des listes et textes des patronnages d'honneur; des objections et réponses; de la documentation; des brochures imprimées diverses, ainsi que des clichés.
Correspondance, pièces justificatives des comptes, factures, sorties et entrées de vacherins, journal de comptes, livres de caisses, traites et remises, copies d'effets, inventaires, livre des expéditions, rabais et positions financières, rapports de pesée, pièces comptables, règlements et prescriptions de l'USF.
Registres, factures.
Comprend les comptes privés de Robert Chenuz, ainsi que des comptes du commerce du bois.
Correspondance, comptes, plans, dossiers de travaux, photographies.
Les documents de ce fonds renseignent d'une part sur l'aspect historique avec plusieurs plaquettes commémoratives ou cassettes vidéo de présentation et d'autre part sur l'aspect administratif de l'entreprise avec des procès-verbaux, comptes, registres du personnel, correspondance commerciale,... Soulignons aussi un aspect plus humain de la vie d'entreprise avec beaucoup de photographies et quelques procès-verbaux d'animations et de sorties organisées par l'entreprise. Mais au-delà de la simple entreprise, la minoterie de Rivaz est aussi un site qui marqua de son profil austère le paysage bucolique des vignobles de Lavaux pendant des décennies. Le chercheur qui voudra se donner une idée des ces bâtiments, aujourd'hui détruits, trouvera nombre de photographies du site premier et de ses agrandissements périodiques.
Le fonds contient les Annuaires du Registre professionnel du canton de Vaud (1943-1994), divisé en 2 parties : par localités et par groupes de professions, puis en 3 parties à partir de 1945 : par localité, par groupe de profession et par ordre alphabétique. Le Registre comptait 13 catégories de métiers, 14 dès 1948, à savoir : 1° Administration, 2° Alimentation, 3° Maçonnerie et génie civil, 4° Bâtiment, 5° Bois, articles en bois, ameublement, 6° Commerce, artisanat, industrie, divers, 7° Cuirs et peaux, 8° Culture et produits du sol, 9° Horlogerie, bijouterie, orfèvrerie (depuis 1948), 10° Hôtellerie et restauration, 11° Hygiène et produits chimiques, 12° Métaux et automobiles, 13° Papiers, arts graphiques, articles de bureau, publicité, 14° Textiles. Parmi les archives du Registre professionnelle se trouve le bulletin mensuel de l'Union vaudoise des associations industrielles, commerciales et des métiers intitulé « Le courrier » (1931 à 1993). Un certain nombre de livres de droit, de comptabilité ou d'histoire forme la bibliothèque. Le fonds comprend également de la correspondance, de la législation, des comptes, des dossiers individuels des entreprises et des dossiers suspendus des différentes catégories de métiers. Le fonds a ainsi été divisé en 5 sous-fonds : 1° Administration-organisation 2° Publications 3° Dossiers des entreprises 4° Dossiers des familles de métiers 5° Bibliothèque
Comptes, correspondance se rapportant aux difficultés financières et aux entreprises au domaine de Clarens (papeterie, blanchisserie) et discussion juridique de ses biens : lettres de rente, comptes, correspondance, etc. (y compris des detes contractées par son père Antoine Reboul).
Les archives ont fait l'objet d'un bordereau de livraison et comportent des répertoires du contenu des classeurs. Un historique de la fabrique d'horlogerie, Louis-Elisée Piguet (1836-1924), entre 1858 et 1970, établi en décembre 1987 est inséré dans le classeur Louis-Elisée Piguet et ses successeurs, 1836-1948, avec un choix de documents de référence. Ce travail a été constitué par Jacques Frédéric Piguet, en août 2008. Ce fonds comprend essentiellement des archives d'entreprises et quelques archives privées de Louis-Elisée Piguet. Des documents plus récents, notamment des inventaires faits par Frédéric et Jacques Piguet, ainsi que des travaux de synthèse et d'analyse y ont été inclus. Le fonds a été divisé en trois parties. Les deux premières concernent la fabrique d'horlogerie, au temps de son fondateur Louis-Elisée, puis de ses successeurs. La dernière regroupe les documents sur le Service des Eaux du Brassus. En guise d'introduction se trouve un historique de la famille Piguet et de son entreprise. Le plan des canalisations du village du Brassus, établi en mai 1897 par le géomètre-breveté, Marius Piguet,du Sentier, a été placé sous la cote GC 1140/20. La majeure partie du fonds est constituée de registres d'entreprise : livre de caisse de Louis-Elisée Piguet (1877-1887); livres de commande (1922-1966); livre de paies (1896-1930); livre des amendes (1893-1898); livres des débiteurs (1896-1927); livres des créanciers (1907-1951); livre des ouvriers (1891-1894); livre de fabrication (1892-1930). A cela s'ajoutent les notes techniques et autres croquis liées aux productions horlogères de la fabrique : les notes de Louis-Elisée Piguet sur les répétitions et grandes sonneries; un cahier sur les montres à sonnerie, de Louis-Elisée Piguet (1892-1969); un ancien cahier de croquis d'élévation de rouages de calibres divers. En plus de ces ouvrages, deux registres contenant les doubles de la correspondance privée et professionnelle de Louis-Elisée Piguet (1883-1887) et de son fils Henri-Louis Piguet (1903-1920), les actes concernant "le Moulin" du Brassus (1767-1891), des brevets d'invention (1890-1957), ainsi qu'unregistre de la Société des Amis de l'Instruction au Brassus, viennent compléter le fonds. La partie concernant le Service des Eaux du Brassus, petite entreprise annexe de la famille Piguet, contient de nombreux plans, des conventions et polices de distribution d'eau au Brassus établies entre le propriétaire et les abonnés, de la correspondance et les documents traitant du projet de vente du service à la Commune du Chenit.
Comprend : correspondance, rapports, plans, journal, études sur l'introduction de primes de rendement, formulaires, éléments de promotion et de diffusion des appareils, catalogues, listes d'éléments techniques et de pièces de rechange, documents relatifs aux expositions commerciales, microfilms et microfiches, prospectus en diverses langues, planification financière, historique de la société, macrographies, brevets, schémas d'appareils et de pièces d'appareils photographiques, périodiques spécialisés sur la photographie, différents appareils fabriqués par l'entreprise, enseignes, listes de prix, registres des réparations des appareils et des réceptions des pièces, fichiers clients, estampilles, facturations, fiches comptables et comptabilité générale, plan héliographié du bâtiment de l'entreprise, nomenclature des numéros de plans de fabrication.
Volumes non détaillés.
Des documents concernant la direction générale de l'entreprise Paillard S.A., les tractations entre la direction générale, les diverses directions (marketing, technique, planification et administration, sociétés du groupe) et le Conseil de direction. C'est une période de forte turbulence et de graves tensions. Le 18 mai 1974, l'assemblée générale des actionnaires de Paillard S.A. a accepté de transformer la raisons sociale en Hermes-Precisa International S.A. Lors de cette même assemblée, Paul André Tschudin a remplacé François Thorens, décédé, et Fritz Meyer, directeur général a été élu nouvel administrateur. L'élection, en 1972, d'Alfred Gisling, pesa davantage dans les destinées de la société.
Documents du Conseil d'administration et des conférences de direction, procès-verbaux, correspondance, comptabilité, rapports fiduciares, dossiers relatifs au personnel, biens fonciers, revues de presse, catalogues, documentation, photographies.
Comprend : dossiers du service de renseignements, répertoires alphabétiques, listes chronologiques, imprimés, revues techniques.
Comprend des registre de comptes des Nicod, négociants; des carnets de voyage; des journaux et des registres de vente; de la correspondance; des livres de comptes; des journaux d'achats et de paiements; des liasses de journaux quotidiens et de pièces diverses; des procès-verbaux des séances de la Commission cantonale vaudoise pour la protection des monuments naturels; des comptes domestiques; les procédures instruites.
Seul le grand livre a été conservé.
Comprend des Grand-Livres de la banque Monay, Cart & Cie; des brouillards; des comptes-généraux de caisse; des comptes divers; des comptes courants; des comptes de gestion; des livres d'effets; des numéros des titres; des détails du compte des coupons; des crédits; des locations; des pièces pour le bilan; des registres pour le droit de timbre; des registres de chèques.
Comprend la correspondance générale et particulière de l'entreprise, l'ensemble des éléments financiers de de fabrication, les documents commerciaux et de gestion de l'entreprise (enparticulier les affaires d'ouvriers, les foires fréquentées, les extensions et diversifications de l'entreprise) ; la présence de la famille Mercier dans l'Hôtel des Bains de Lavey et le Collège Galliard (Lausanne).
Le fonds est réparti entre 5 sous-fonds. Un premier sous-fonds contient divers historiques de l'entreprise ainsi que des documents produits par la direction générale, soit essentiellement des procès-verbaux d'assemblées générales du Conseil d'administration et des procès-verbaux d'assemblées générales des actionnaires. Un deuxième sous-fonds rassemble les pièces comptables. Nous retrouvons d'une part, des journaux de comptes et divers rapports relatifs à la comptabilité de l'entreprise et d'autre part, divers registres contenant des informations au sujet des commandes, des livraisons et des facturations émises par l'entreprise. Un troisième sous-fonds rend compte des activités commerciales de Maillefer SA. Ce dernier a été décomposé en deux sections principales. Une première regroupe des documents "à usage interne de l'entreprise". Pour l'essentiel il s'agit de rapports, en général confidentiels, sur les activités des départements s'occupant de la vente des produits. Figure également des catalogues internes et des listes des prix, des concurrents et des clients. Une seconde section réunit d'une part des documents à usage publicitaire : essentiellement des catalogues et brochures présentant des gammes de produits. D'autre part, nous retrouvons des éléments rendant compte des pratiques et des stratégies promotionnelles des produits de l'entreprise : foires, expositions, séminaires auxquels l'entreprise a participé (ou même initié) et diapositives destinées à séduire des acheteurs potentiels. Un quatrième sous-fonds s'intéresse d'avantage à la dimension technique des activités de l'entreprise. Ce dernier se compose notamment d'études réalisées par l'entreprise sur ses machines et sur des matériaux. Une partie importante de ce sous-fonds est occupée par "la bibliothèque Maillefer" dans laquelle l'on retrouve notamment des études et des ouvrages réalisés par Charles-Edmond Maillefer. Un cinquième et dernier sous-fonds offre un point de vue sur le personnel et les activités sociales de l'entreprise. Premièrement, celui-ci se compose de listes et de photographies du personnel lors d'événements organisés par l'entreprise. Deuxièmement, de règlements encadrant les activités et les divers fonds d'aides mis à la disposition du personnel. De cette grande diversité d'éléments qui composent le fonds Maillefer, il est possible de mettre en relief quelques ensembles (en raison de leur intérêt ou de leur originalité), au même titre que quelques ensembles manquants ou supposés comme tel. Ce fonds contient des pièces atypiques. Il s'agit de caisses en bois volumineuses contenant des diapositives sur support de verre datant du début du vingtième siècle. Ces images de machines rendent compte plus généralement d'une stratégie commerciale adoptée semble- t-il dès les débuts de l'entreprise : la promotion des produits par l'image. L'on peut également souligner l'importance matérielle du sous-fonds "Fonction commerciale" notamment en comparaison au sous-fonds "Fonction technique". D'une part, le volume de ce sous-fonds trouve une explication dans la promotion d'envergure internationale des produits : chaque prospectus se décline au minimum en trois langues. D'autre part, étant donné que l'entreprise a été rachetée par Nokia en 1987, il est probable que les "diverses recettes techniques" (notamment la trentaine de brevets) élaborées par Maillefer soient toujours en possession de la firme finlandaise. Concernant les documents méritant peut-être une attention particulière, mentionnons : les rapports du contrôleur de gestion (PP 837/43); l'impôt fédéral sur les bénéfices de guerre (PP 837/52); les listes des concurrents et des clients (PP 837/60); les rapports d'activité du service marketing (PP 837/63); "Créer pour survivre" (PP 837/113). Pour les documents manquants, des lacunes peuvent être soulignées dans les procès-verbaux du Conseil d'administration (PP 837/25); dans les procès-verbaux de l'Assemblée générale des Actionnaires (PP 837/26); dans les rapports annuels du Conseil d'administration (PP 837/30); dans les journaux comptables (PP 837/34-35). Et de manière plus générale, ce fonds contient très peu d'informations au sujet de "l'ère Nokia".
Comprend les statuts; divers documents comptables et financiers (journal, grand-livre, brouillard de caisse, facturation, compte de créanciers, livre de paie, amendes, salaires...); l'assurance obligatoire des ouvriers; un formulaire imprimé du début du 19ème siècle concernant les déclarations d'accident (loi fédérale de 1877); des livres d'expédition et de commandes; des copies de correspondance; des carnets de comptes; des factures de fournisseurs; des contrats, conventions et patentes; des inventaires; des dossires de litige; des papiers relatifs à la liquidation de l'Industrielle; la correspondance et les affaires traitées depuis la liquidation; des prix courants et catalogues; des lettres de change.
Procès-verbaux, actes notariés, statuts, contrats, loyers, obligations, parts de fondateurs, conventions, inventaire, économie de guerre, correspondance, protocoles, livres de comptes, paies des bureaux, douments divers en relation avec la direction, livres de paie, listes du personnel, provisions, affaires militaires, journaux de comptes, livres de factures, grands livres, livres de caisse, balances, paies, brouillards, portefeuilles, règlement des comptes, dossiers annuels, registres de fabrication, inventaires de fabrication, brevets, plans, statistiques, fabrications non-horlogères, et documents divers.
Le fonds est divisé en cinq sous-fonds : généralités, registres, dossiers d'affaires, marketing et bibliothèque. Le premier sous-fonds comporte deux plaquettes historiques, les statuts, les concessions obtenues, de la correspondance et des journaux de l'entreprise. Le deuxième comprend de nombreux registres et classeurs de polices d'assurances (vie, accident, responsabilité civile, voiture) de procès-verbaux, de rapports annuels, de comptes et de statistiques. Le troisième est constitué de dossiers d'affaires, pour la plupart des traités de réassurance. Le quatrième sous-fonds traite de la publicité et contient des affiches et des prospectus. Le cinquième est composé de quelques ouvrages sur les sciences actuarielles. L'entreprise Secur'Archiv SA a inventorié des registres jamais parvenus aux Archives cantonales, en voici la liste : Classeur fédéral (1963), Comptes (1941, 1955, 1966), Etat du portefeuille (1964), Gérance accidents (1940), Grand livre accidents (1940-1941, 1954), Grand livre vie (1906, 1909, 1910, 1911, 1912, 1914, 1940, 1942, 1947, 1950), Polizen (1924), Rapport fédéral (1910, 1929), Rentiers (2 volumes), Vie et accidents (1910).
Rapport général 1876-1963; procès-verbaux du comité de 1882-1927 et des assemblées générales de 1876 à 1976; des coupures de presse en relation avec le nouvel hôpital orthopédique et Louis Nicod, médecin/chef, 1963-1976.
L'intérêt de ce fonds réside dans sa composante financière (journal des comptes, factures clients et fournisseurs, livres de caisses), ses dossiers généraux et dans sa collection d'imprimés qui témoignent de l'évolution des techniques d'impression dans la seconde moitié du XXe siècle, livres de caisse). Outre les documents concernant directement son entreprise, André Groux a déposé les dessins originaux du graphiste Luigi Tondini, remis par ce dernier peu avant sa mort, en 1978. Ces dessins à l'encre de Chine, effectués pour le compte de l'entreprise Meystre Papiers peints à Bienne, Lausanne et Sion, ont paru quotidiennement dans la Feuille d'Avis de Lausanne entre 1969 et 1977. D'autres esquisses et dessins publicitaires présents dans ce fonds n'ont pas tous été confiés pour impression à l'entreprise Groux. Mentionnons particulièrement la présence de quelques dessins originaux du P.-O. [Pierre-Olivier] Bassin, conseiller publicitaire à Lausanne, vers 1970.
Le fonds est composé principalement de la série très complète de 1951 à 2006 (PP 875/6-28) de procès-verbaux et de lettres circulaires, le tout classé par année. A côté de cela, il faut relever la présence des listes annuelles de membres (PP 875/4) aussi très nombreuses, ainsi que de la correspondance, qui justement s'y rapporte, tenue par la Commission chargée des nouvelles candidatures (PP 587/5). De plus, trois autres objets intéressants ont été mis en évidence lors de l'inventaire, il s'agit du classeur contenant les documents les plus importants pour l'organisation et l'histoire du Groupement (PP 875/3), une liste à jour de toutes les réunions du Groupement depuis sa création (PP 875/2 qui a permis de détailler aisément le contenu des classeurs) et enfin un petit texte de présentation (PP 875/1). Ce fonds est d'un grand intérêt, car il apporte des informations précieuses sur les nombreuses entreprises romandes visitées par le groupement. On doit pourtant admettre que si la forme des procès-verbaux des visites d'entreprise est très stable au travers des années sans être toutefois très fournie (ils sont le plupart du temps courts, de 2 à 3 pages); par contre, la documentation sur l'entreprise est, elle, très inégale. Du rapide survol du matériel conservé dans la série des procès-verbaux, on peut déduire que dans les vingt-cinq premières années, de 1951 à 1975, les classeurs ne contiennent stricto senso que les procès-verbaux de visites et ceux des discussions. C'est une réalité seulement à partir de 1975 que la correspondance est petit à petit adjointe ainsi que de la documentation sur les entreprises. Par la suite soit à partir des années 1980, la présence de la correspondance se renforce (avec aussi l'apparition des cartes de visites des gens rencontrés) mais qu'elle tendra à nouveau à disparaître à partir de 1998, ce qui sera complètement le cas à partir de l'an 2000. Pour la conservation de la documentation, au contraire, c'est dès 1998 environ qu'elle devient vraiment systématique (exception faite de l'année 2001 qui n'est documentée que pour trois visites). On doit enfin relever l'existence des comptes annuels du Groupement accolés aux procès-verbaux entre 1967 et 1980, ainsi que l'absence de comptes rendus de visite entre août 1997 et novembre 1998. Toutes ces évolutions suivent en partie les changements à la présidence du Groupement.
Comprend un registre des stocks et mouvements de marchandises.
Historique de l'atelier de photographie de Thierry Froidevaux (1968-2008). Recueil d'images des travaux réalisés (2004). Déclarations fiscales (1968-1996). Factures clients, factures payées (1968-1999). Correspondance (1975). Photographies sur papier et diapositives réalisées pour divers clients tels que Nestlé, les éditions Rencontre, la Banque Cantonale Vaudoise, Posso, Roth et Sauter et bien d'autres (1968-1995). Epreuves couleur sur papier, aluminium et film, en collaboration avec l'Atelier Winfried Geymeier graphic design communication & prepress (2005-2008). Panorama de Lausanne (1975). Photographies de l'atelier de Thierry Froidevaux (2008). Les factures de Thierry Froidevaux, prises dans leur globalité, sont un bon témoignage de l'évolution de la photographie au cours du siècle dernier, accélérée par l'introduction de l'informatique et de la numérisation dans les années 1990. Les techniques anciennes (photographie argentique) utilisées par le photographe dans la première moitié de sa carrière, ont laissé peu à peu place à la photographie numérique. Ceci induitun changement radical du matériel utilisé, incluant l'achat d'ordinateurs et d'accessoires informatiques (imprimantes, scanner, logiciels, etc.), ainsi que l'achat d'appareils photographiques numériques. Ces éléments se retrouvent dans les factures.
Seuls les grands livres ont été conservés.